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30 juillet 2010 5 30 /07 /juillet /2010 10:45

Affiche 2010 jpg pour blog 1                                     5ème Festival de Pordic

                                                                            du 25 au 29 août 2010

   mercredi 25 août 2010  20h30
       
                                
Centre Culturel de la Ville Robert


 

Piano romantique : "Chante, ô piano bien-aimé"

 

Jean-Louis Haguenauer, piano

Ludwig van BEETHOVEN
transcription Franz LISZT    
An die ferne Geliebte
   
Robert SCHUMANN Fantaisie op. 17 
   
Claude DEBUSSY Berceuse héroïque
   
Frédéric CHOPIN Sonate N°3 
   
Programme en cours  

     


Haguenauer (c)Guy Vivien 1

« Haguenauer possède une qualité essentielle et immédiatement frappante : celle de faire sonner la musique du compositeur comme l’envers du silence. » Le Monde

Le pianiste Jean-Louis Haguenauer participe en tant que soliste à de nombreuses séries de concerts et festivals de chaque côté de l’Atlantique (La Roque d’Anthéron, Folle Journée de Nantes, Radio France-Montpellier, Jacobins de Toulouse, Orangerie de Sceaux, Opéra de Vichy, Library of Congress, Kreeger Museum…).

Partenaire recherché en musique de chambre, il collabore avec le pianiste Jeff Cohen, les violonistes Alexis Galpérine, Annick Roussin et Jaime Laredo, les altistes Pierre-Henri Xuereb, Atar Arad et Arnaud Thorette, les violoncellistes Cecilia Tsan, Sharon Robinson et Tsuyoshi Tsutsumi, les flûtistes Patrick Gallois, Thomas Robertello et Andras Adorjan, les clarinettistes Michel Lethiec et James Campbell, le Quatuor Ebène et le Fine Arts Quartet, l’Ensemble Stanislas, les Percussions de Strasbourg, l’Ensemble Accroche-Notes... Il a été membre des Florence Gould Hall Chamber Players de 1991 à 1997 et des American Chamber Players de 2003 à 2007… Il forme depuis vingt ans un duo avec le ténor Gilles Ragon, avec lequel il travaille en profondeur le répertoire de la mélodie française et du Lied.

Titulaire d’une licence de concerts à l’École Normale de Musique de Paris dans la classe de Germaine Mounier et d’un premier prix de virtuosité avec distinction au conservatoire de Genève dans la classe de Louis Hiltbrand, Jean-Louis Haguenauer se perfectionne ensuite auprès du pédagogue Jean Fassina. Il a également suivi des cours d’analyse musicale, d’écriture et de composition avec Nadia Boulanger et Henri Dutilleux. En 1983, il est lauréat de la Fondation Yehudi Menuhin. Devenu enseignant à son tour, de 1988 à 1998 professeur de piano au Conservatoire National de Région de Strasbourg, il vit maintenant aux Etats-Unis et enseigne à la prestigieuse école de musique d’Indiana University à Bloomington.

Sa discographie dessine un profil de musicien original s’aventurant volontiers hors des sentiers les plus courus. La musique pour piano de Claude Debussy, dont il est actuellement un des interprètes les plus remarquables, y rejoint ainsi nombre d’œuvres moins familières : transcriptions des deux premières symphonies de Beethoven par Liszt ; oeuvres de chambre de Carl Maria von Weber, Igor Stravinsky, Guy Ropartz et Ernest Bloch ; transcriptions de valses de Strauss par Schoenberg, Berg et Webern ; mélodies  d’Hector Berlioz. L’intégralité des Lieder de Schumann et le Troisième Concerto de Beethoven transcrits par Liszt sortiront prochainement (chez Accord-Universal), ainsi qu’un programme Schumann avec le ténor Gilles Ragon (chez Saphir). Un CD d’œuvres pour piano de György Kurtág figure au nombre de ses projets.

Le film La Spirale du Pianiste, qui a rencontré un véritable succès critique et public lors de sa sortie en salles en 2000, le montre au travail jour après jour dans la période de préparation de son enregistrement des Préludes de Debussy.
                                                                                                                                                              (photo Guy Vivien)


Le site de Jean-Louis Haguenauer (http://www.emmanuel-joulin.com/haguenauer.html) présente sa discographie et ses concerts.

 


Entre An die ferne Geliebte de Beethoven et la Fantaisie op. 17 de Schumann, des liens aussi étroits que mystérieux où Liszt joue un rôle surprenant.

(D'après Rémy Stricker)

 

Quelle que soit la stature de Beethoven et le fait qu'il ait marqué de sa griffe presque tous les genres musicaux, sa rencontre avec le lied reste peut-être la plus problématique (... lire la suite)

 


Schumann : la Fantaisie en ut majeur op. 17 vue par Marcel Schneider

 

Avec la Fantaisie en ut majeur op. 17, nous passons d’Ernestine à Clara, le grand amour, la future femme de Robert Schumann : cela explique le changement de ton, le pathétique, la grandeur. En même temps qu’il découvre Clara, Robert Schumann se découvre lui-même (... lire la suite)

 


Expliquer Debussy, par Djac Baweur

  

Publié dans : De l'Art musical et autres balivernes symphoniques, extrait du blog "The Djac Baweur attitude, le blog qui sert à que dalle", un site tout à fait étonnant, (déjà le nom !) où l'on trouve des billets d'humeur, des coups de coeur, et aussi des études très sérieuses présentées de façon très amusante, ou même franchement drôle. Djac Baweur, qui doit s'appeler Jacques Bauer dans la vraie vie, est altiste, membre d'un orchestre connu et compositeur. Voici la façon dont il aborde Debussy. Brittany Mélodies l'écrirait sûrement tout autrement, mais sûrement pas aussi bien.

 

Pourquoi Debussy c'est le meilleur (... lire la suite)

 

 

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